1. Lorsqu'un individu est seule face à une problématique, il a bien moins de chance de réussir qu'en groupe.
2. Piaget définit la ___ comme tout rapport entre deux ou n individus égaux ou se croyant tels, autrement dit tout rapport social dans lequel n'intervient aucun élément d'autorité ou de prestige.
a Cohabitation
b Conciliation
c Coopération
3. Pour que le comportement d'aide soit considéré dans la coopération, il faut :
a Que l'aidant voit l'aspect bien-être et agréabilité de l'autre sans volonté de réussite absolue.
b Qu'il y ait motivation à apporter plus de bien-être à autrui.
c Que l'aidant ne soit pas dans une logique performative mais coopérative.
d Les 3 réponses sont justes.
4. Qui a décrit le principe du Don / Contre don ?
a Piaget
b Mauss
c Servigne & Chapelle
5. Mauss parle de cela comme le fait de donner, recevoir et rendre. Il décrit la coopération comme quelque chose qui s'alimente.
6. Qui décrit la coopération dans l'idée d'aider son prochain, d'anticiper des sentiments agréables et comme temps de la contre prestation ?
a Mauss
b Piaget
c Servigne & Chapelle
d Connac
7. Les adolescents préfèrent l'___ à l'___ d'après Connac.
a L'équité à l'égalité
b L'égalité à l'équité
8. Kahneman décrit l'intuition et la réflexion. Celui qui est conscient, qui surveille l'autre processus, qui décrit le monde du toute et a un raisonnement logique est :
a La réflexion
b L'intuition
c La contemplation
9. L'intuition :
a Est inconsciente
b Est rapide et demande peu d'efforts.
c Fait preuve d'un excès de confiance et donne une vision simplifiée du monde
d Les 3 réponses sont justes.
10. Il y a une prévalence des mécanismes sociaux et coopératifs sur notre comportement.
11. Selon Clavel, la mise en sens de la situation est :
a L'hétéromie
b La sensification
c L'hétéronomie
12. D'après Axelrod, la coopération est :
a Indispensable
b Une astuce
c Une stratégie
13. La coopération est une compétence figée, acquise dès les expériences de l'enfance.
14. L'application des règles sans réflexion est :
a L'autonomie morale
b L'hétéronomie morale
15. La prise en considération du point de vue d'autrui est :
a L'autonomie morale
b L'hétéronomie morale
16. Orbelé décrit les profils d'altérité selon :
a Les phénomènes endo et exogroupes
b Les phénomènes pro et antisociaux
17. Le fait de se dire "on vient du même endroit donc on peut coopérer ensemble" s'appelle l'esprit :
a De moulin
b De cloche
c De clocher
18. Meirieu décrit le fait de pouvoir avoir un comportement d'aide plus rapide et instinctif avec notre voisin "spatial" que celui à l'autre de bout de la pièce comme :
a La proximité
b La complicité
c La mitoyenneté
19. Coopérer c'est aussi :
a Croire en les compétences d'autrui
b Agir en fonction de relations formelles et informelles
c Les 2 réponses sont justes.
20. Selon Connac, lorsque des individus réalisent une même réalisation ils
21. Lorsque deux individus font des actions combinées ils
a Sont solidaires
b Ils sont généreux
c Ils coopèrent
d Ils collaborent
22. Quel que soit le type d'aide apporté, cela va responsabiliser
a L'aidant
b L'aidé
c Les deux
23. D'après Houdè, faire appel à des entités inobservables permet :
a D'améliorer la coopération
b La spontanéité et la symétrie
c D'engager des comportements prosociaux
24. Les entités observables consistent à
a Décrire - Expliquer - Prédire
b Décrire - Justifier - Prédire
25. Si dans la coopération la compétition est pratiquée en équipe :
a Cela favorise le stress et une estime de soi plus faible.
b Cela favorise l'esprit de groupe et la coopération.
26. Selon Clavel, la base de la morale est :
a Réciprocité - Confiance - Disponibilité
b Réciprocité - Adaptation - Disponibilité
c Réciprocité - Confiance - Respect
27. D'après Tomasello, la créativité mène à la morale et les conflits cognitifs permettent le progrès. Autrement dit, la transgression permet la progression.
28. Qui décrit la créativité et la moralité ?
29. Quelle moralité est plus rigide et moins responsabilisatrice et s'utilise pour les faits de société et dilemmes moraux ?
a La moralité du quotidien
b La moralité sociale
30. La moralité du quotidien :
a Est plus souple, flexible et est soumise aux émotions.
b Permet une interpénétration des cognitions et affects.
c Les 2 réponses sont justes.
31. D'après Marcelli, l'obéissance n'est pas la soumission. Reconnaitre la capacité d'autrui à prendre les bonnes décisions pour soi est :
32. Zhao décrit le mensonge ___ comme le mensonge pour protéger l'autre, à cheval entre mensonge noir et mensonge blanc.
a Mensonge prosocial
b Mensonge sécuritaire
c Mensonge altruiste
33. Le fait de mentir blanc nous informe :
a De l'honneteté du menteur
b De la franchise du menteur
c De la bienveillance du menteur
34. D'après qui triche-t-on pour un tiers significatif avant de tricher pour soi-même durant les études supérieures ?
35. Les enfants trichent davantage :
a Seuls
b En binôme
c En trinôme
36. Quels sont les résultats de la thèse présentée en CM ?
a Les duos trichent plus que les solos, peu importe s'ils s'apprécient ou non.
b Il n'y a pas de différence liée au genre, ni de différence empathique.
c Pas de différence mensonge blanc / noir.
d Les 3 réponses sont justes.
37. Tandis que les résultats de la littérature disent :
a Une différence entre milieux sociaux et triche.
b Les milieux défavorisés coopèrent plus.
c L'autonomie morale est plus développée.
d Les 3 réponses sont justes.
38. Lorsqu'on conserve les règles qu'on a sans les remettre en question et qu'il s'agit d'une logique fixée, c'est :
a L'accomodation
b L'assimilation
39. Lorsqu'on remet en question telle règle morale ou tel principe qu'on fait notre depuis plusieurs années, c'est :
a L'assimilation
b L'accomodation